Abandonné dans le désert ...

Les derniers développements en Tunisie concernant les migrants subsahariens sont préoccupantes ...

Depuis le 4 juillet, la Tunisie mène des campagnes massives d'arrestation et d'expulsion de migrants subsahariens depuis la ville de Sfax vers les pays voisins, notamment l'Algérie et la Libye [1] [2]. Les migrants sont transportés dans des camions et déposés dans des zones désertiques, où ils sont abandonnés sans nourriture ni eau, exposés à des températures élevées dépassant les 40 degrés Celsius [3] [4].

Les expulsions massives ont conduit à des conditions inhumaines pour les migrants, qui se retrouvent dans des situations désespérées, errant dans le désert à bout de forces [5] [6]. Les organisations de défense des droits de l'homme, telles que Human Rights Watch, ont dénoncé ces expulsions massives et ont qualifié la situation de question de vie ou de mort pour les migrants [7] [8]. Les migrants expulsés vers le désert alertent sur leur sort et appellent à l'aide [9].

Les témoignages de migrants originaires d'Afrique subsaharienne font état de violences et de représailles à Sfax [10]. La situation reste préoccupante et nécessite une attention internationale pour protéger les droits des migrants et améliorer les conditions dans lesquelles ils sont traités.

Comment les migrants sont-ils traités lors de ces expulsions?

Les migrants sont traités de manière inhumaine lors de ces expulsions massives en Tunisie. Les migrants sont arrêtés et transportés dans des camions vers des zones désertiques, où ils sont abandonnés sans nourriture ni eau, exposés à des températures élevées dépassant les 40 degrés Celsius [1] [2] [3] [4]. Les migrants se retrouvent dans des conditions désespérées, errant dans le désert à bout de forces [5]] [6].

Les témoignages de migrants originaires d'Afrique subsaharienne font état de violences et de représailles à Sfax [7]. Les organisations de défense des droits de l'homme, telles que Human Rights Watch, ont dénoncé ces expulsions massives et ont qualifié la situation de question de vie ou de mort pour les migrants [8] [9]. Le ministre tunisien de l'intérieur a qualifié de "fausses allégations" concernant les mauvais traitements subis par les migrants [10]. Cependant, cette position est en contradiction avec les témoignages de migrants et les rapports d'organisations de défense des droits de l'homme, qui ont dénoncé les expulsions massives et les mauvais traitements infligés aux migrants [11] [12] [13]. Il est important de noter que les expulsions massives de migrants subsahariens ont été largement documentées et ont suscité une préoccupation internationale. Les organisations internationales ont appelé la Tunisie à respecter les droits des migrants et à mettre fin à ces pratiques contraires au droit international [14] [15].

Ce qui est de plus, des témoignages de migrants originaires d'Afrique subsaharienne font état de violences et de représailles à Sfax [16] [17]. Les migrants expulsés vers le désert alertent sur leur sort et appellent à l'aide [18]. Selon des témoignages recueillis par InfoMigrants, les autorités tunisiennes ont mené des rafles à Sfax, Ben Guardane et d'autres villes du pays [19]. Les migrants se retrouvent dans des conditions désespérées, errant dans le désert à bout de forces, avec des températures dépassant les 40 degrés [20]. Les organisations de défense des droits de l'homme, telles que Human Rights Watch, ont dénoncé ces expulsions de migrants vers le désert, les qualifiant de question de vie ou de mort [21]. 

Comment les tunisiens réagissent à ces expulsions et abandons des africains subsahariens?

Les réactions des Tunisiens aux expulsions et aux abandons des Africains subsahariens sont diverses et peuvent varier. Certains Tunisiens ont réagi avec violence envers les migrants subsahariens, notamment à Sfax, où des violences ont éclaté entre Tunisiens et migrants subsahariens [1]. Des réactions racistes ont également été observées, avec des appels à l'expulsion des migrants [2]. 

Cependant, il convient de noter que tous les Tunisiens ne réagissent pas de manière négative. Certains font preuve de solidarité envers les migrants et expriment leur soutien [3]. Des organisations et des individus se mobilisent pour aider les migrants et dénoncer les mauvais traitements qu'ils subissent [4]. 

Les expulsions massives de migrants subsahariens ont également suscité des débats et des discussions au sein de la société tunisienne. Certains remettent en question les politiques migratoires et les conditions d'accueil des migrants en Tunisie [5].

Est-la Tunisie un pays raciste?

La question de savoir si la Tunisie est un pays raciste est complexe et suscite des débats. Selon des témoignages et des rapports, les migrants subsahariens en Tunisie font face à des agressions racistes sporadiques depuis des années [1]. Après le discours du président tunisien en février 2023, ces attaques ont augmenté, accompagnées de vols, d'expulsions et de pertes d'emplois [2].

Certains Tunisiens ont réagi avec violence envers les migrants subsahariens, notamment à Sfax, où des affrontements violents ont eu lieu [3]. Des réactions racistes et des discours de haine ont également été observés, alimentés en partie par des plateformes en ligne et des partis politiques [4].

Cependant, il est important de noter que tous les Tunisiens ne sont pas racistes et que certains font preuve de solidarité envers les migrants et dénoncent les mauvais traitements [5]. La société civile s'organise pour exprimer sa désapprobation face à ces violences [6]. La Tunisie a adopté en 2018 une loi contre la discrimination raciale, ce qui témoigne d'une volonté de lutter contre le racisme [8].

il existe des cas de racisme en Tunisie, notamment envers les migrants subsahariens. Cependant, il est important de noter que toutes les personnes en Tunisie ne sont pas racistes et que des voix s'élèvent pour dénoncer ces comportements. La situation reste complexe et nécessite une attention continue pour promouvoir la tolérance et l'égalité.

Donc, les migrants paient pour un État populiste et défaillant - avec une crise économique et une dictature qui s'installe de plus en plus après ce que les politologues appellent un "auto-coup d'État" ?

Il est vrai que la situation en Tunisie, marquée par une crise économique et une instabilité politique, a un impact sur les migrants et les expulsions massives en cours. Les politologues ont qualifié cette situation d'auto-coup d'État [1]. Les migrants, en tant que groupe vulnérable, peuvent être affectés par ces conditions politiques et économiques difficiles.

La crise économique et l'instabilité politique peuvent contribuer à une atmosphère de populisme et de défaillance de l'État, ce qui peut se traduire par des politiques et des actions discriminatoires envers les migrants. Les expulsions massives et les mauvais traitements subis par les migrants subsahariens en Tunisie sont des exemples de ces conséquences.

Est-ce que les organisations internationales réagissent?

Oui, les organisations internationales ont réagi aux expulsions massives de migrants subsahariens en Tunisie.  Des experts de l'ONU ont exhorté la Tunisie à faire respecter les droits des migrants et ont souligné que les expulsions collectives sont interdites par le droit international [https://www.iom.int/fr/news/declaration-de-loim-sur-la-situation-des-migrants-en-tunisie1]. Ils ont appelé la Tunisie à mettre fin aux expulsions massives et à garantir la protection des droits des migrants.

L'organisation internationale du travail (OIT) a travaillé sur la révision et l'harmonisation des lois et réglementations tunisiennes avec les normes internationales pertinentes pour la protection des droits des travailleurs migrants [1]. L'objectif est de vaincre la précarité et la vulnérabilité de ces populations et de contrer les discriminations [2]. L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a publié une déclaration sur la situation des migrants en Tunisie, soulignant que les migrants doivent être protégés et qu'ils ont des droits humains [3].

Ces mesures prises par l'ONU visent à sensibiliser la Tunisie sur l'importance de respecter les droits des migrants, à condamner les expulsions massives et à encourager la mise en place de politiques et de mesures pour garantir la protection des droits des migrants conformément au droit international.

Human Rights Watch a dénoncé les expulsions collectives d'Africains noirs vers la frontière libyenne et a appelé la Tunisie à mettre fin à ces pratiques [4]. L'organisation a souligné l'importance de respecter les droits des migrants et de protéger leur sécurité.

Ces réactions des organisations internationales témoignent de leur préoccupation face aux expulsions massives de migrants subsahariens en Tunisie. Elles appellent à la fin de ces pratiques et à la protection des droits des migrants conformément au droit international.

Pourtant l’Europe continue à soutenir le gouvernement tunisien et a meme augmenté son aide financière

Malgré les critiques concernant les propos racistes du président Kaïs Saïed, l'Europe continue à soutenir le gouvernement tunisien et a même augmenté son aide financière. L'Union européenne a proposé une aide financière à long terme pouvant aller jusqu'à 900 millions d'euros à la Tunisie, dans le cadre d'un "renforcement du partenariat" avec le pays [1]. Déjà en  2021, l'Union européenne a versé 300 millions d'euros d'assistance macro-financière à la Tunisie pour aider le pays à faire face à ses importants besoins de financement [2].

Ces éléments montrent que malgré les critiques concernant les propos racistes du président Saïed, l'Europe continue à soutenir la Tunisie financièrement. Cependant, il est important de noter que cette aide financière est destinée à aider la Tunisie à faire face à ses besoins de financement et à soutenir les réformes économiques et sociales, et ne doit pas être considérée comme un soutien aux propos racistes du président.

Merci Perplexity for this brief orientation


PHOTO CREDIT: Migrants from sub-Saharan African countries on 16 July, who have been abandoned in the desert by Tunisian authorities in an uninhabited area near Libya's border town of Al-Assah. Photograph: Mahmud Turkia/AFP/Getty Images


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